Les jardins individuels pour la durabilité ou la sécurité alimentaire? Différences socio-spatiales à travers des quartiers de Portland et de Vancouver

Conférence sur les jardins individuels pour la durabilité ou la sécurité alimentaire? Différences socio-spatiales à travers des quartiers de Portland et de VancouverPar Nathan McClintock, Professeur agrégé d'études urbaines et urbanisme, Portland State UniversityLe Laboratoire sur l'agriculture urbaine a le plaisir de recevoir Nathan McClintock, professeur à Portland State University. En plus d'être l'un des collaborateurs de AU/LAB, particulièrement dans le cadre d'une recherche portant sur l’évaluation de l’agriculture urbaine comme infrastructure verte de résilience individuelle et collective face aux changements climatiques et sociaux dans la région de Montréal, Nathan McClintock est un chercheur reconnu internationalement en l'agriculture urbaine. S’engageant en politiques écologiques urbaines, urbanisme critique et planification de systèmes alimentaires, sa recherche examine largement la relation entre l’urbanisation, les systèmes agro-alimentaires et l’environnement. Actuellement, son focus primaire est sur l’agriculture urbaine et la justice alimentaire dans les villes nord-américaines.Dans le cadre de cette conférence, Nathan McClintock présentera les résultats d'une étude sur les jardins individuels dans huit quartiers de Portland et de Vancouver Portland (Oregon, États-Unis) et Vancouver (Colombie-Britannique, Canada). Portland et Vancouver sont deux villes réputées pour l'engagement envers le développement durable, ainsi que pour l'agriculture urbaine (AU). Celle-ci contribue à la renommée des deux villes en tant que « villes vertes ». Les deux villes ont mis en place des politiques pour promouvoir l'AU, notamment le soutien aux jardins communautaires et aux fermes urbaines. Toutefois, pour que la politique et la planification de l'AU puissent profiter également aux jardiniers qui cultivent à la maison, on a besoin d’une meilleure compréhension des raisons pour lesquelles les individus pratiquent l’AU. Beaucoup de ces motivations sont liées à des facteurs socio-économiques - revenu, éducation, origine ethnique, etc. - qui sont inégaux d'un quartier à l'autre. Les données cartographiques et d'enquête révèlent un paysage inégal de jardins individuels et une diversité de motivations à travers les deux villes.Pour plus d’information sur les recherches de Nathan McClintock : http://www.urbanfood.orgDate / heureMardi 7 novembre 201712h30 à 14h00LieuUQAM – Pavillon Président-Kennedy (PK)PK-3210201, avenue du Président-Kennedy, Montréal (QC) Canada  H2X 2J6

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AU/LAB accompagne la rédaction du plan de développement de l’agriculture urbaine de la ville de Longueuil

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